Fany Péchiodat n’a pas peur de se lancer dans de nouveaux projets et c’est son ambition et son courage qui ont contribué à la réussite de My Little Paris. Il faut savoir innover et dès que l’idée vient, testez-là.A titre d’exemple, c’est ainsi que la My Little Box est née. Cette beauty box qui a été lancée en décembre 2011 n’était encore qu’à la phase projet, mais l’équipe a su trouver les fournisseurs qui avaient confiance dans le projet et qui souhaitaient également collaborer avec My Little Paris. Ainsi, ils ont concrétisé leur produit en près de deux mois et ont prévu près de 2,000 boîtes pour un panel test. Celles-ci se sont écoulées en moins d’une heure, une réussite. Aujourd’hui, les beauty box représentent pour l’entreprise près de 60% du chiffre d’affaires.Mais avec un tel état d’esprit, il faut également savoir reconnaître les échecs et repartir de plus belle. Il ne faut pas s’arrêter au premier obstacle, mais analyser, décortiquer, réparer et adapter son produit/service pour qu’il puisse correspondre aux besoins du marché. Comme cette newsletter nationale que My Little Paris a diffusée pendant quelques mois, mais qui a dû finalement être annulée.Enfin, pratiquer le « Growth Hacking » c’est-à-dire générer le plus de nouvelles d’idées en vue d’innover rapidement sur le marché.
