La box NotiSeoton de novembre a laissé la place à trois livres jeunesse aux thèmes différents mais toujours très « formateurs » avec : la clé à molette la vérité selon Arthur la légende du colibri Outre ces trois livres, la box contenait trois fiches explicatives ainsi qu’une fiche éditoriale. La clé à Molette Le premier livre que nous avons découvert est la clé à Molette. Cet ouvrage met en évidence notre société de consommation et est à lire et relire ! Les enfants sont en effet la cible privilégiée des magasins, de la publicité et il est très tentant pour eux de succomber à toutes ces fameuses découvertes qu’on leur laisse espérer… regardons leur coffre à jouet. Dans cette histoire, Bob se rend au magasin pour acheter une clé à molette et sort avec un chapeau frigo ou encore un pyjama musical… tout et n’importe quoi en somme, et certainement pas une clé à molette. Au final, il stocke tout ses achats inutiles dans une armoire… La morale de l’histoire est que sa clé à molette est au fond de cette armoire, dont le contenu s’écroule faute de place ! La légende du colibri Un classique à avoir dans sa bibliothèque. Cet ouvrage est tirée d’une histoire amérindienne et met en avant que peu importe les gestes réalisés, chacun d’eux est essentiel, chacun peut agir à son niveau. Ce livre peut être une belle suite au premier et est une belle façon de réfléchir à notre façon de consommer, pour devenir plus responsable. Même si nous nous trouvons trop petits pour que nos gestes quotidiens comptent, ce colibri nous fera prendre conscience que nos gestes ont une importance. Les petits gestes de chacun nous permettent de refuser la fatalité qui dessine devant nous. La vérité selon Arthur Après la sur-consommation et ses dégâts, nous abordons ici un thème également important avec le mensonge. Arthur est un petit garçon qui a fait une bêtise, et qui a peur d’affronter la vérité. Ainsi nous le suivons dans ses mensonges hauts en couleurs. Quelle imagination ! Cette dernière nous emmène au fil de pages colorées à ce qu’Arthur se rende compte qu’il vaut mieux dire la vérité à sa maman, sous peine d’être assailli par la culpabilité.