Le Chocolat de Poche d'avril 2020

Le Chocolat de Poche propose une box nommée « Chocolittéraire » qui allie la gourmandise avec du chocolat d’exception et la culture avec un emballage poétique ressemblant à un livre nous plongeant dans un univers artistique. Ainsi on reçoit chaque mois deux tablettes de chocolat à dévorer tout en découvrant un artiste à travers la couverture du livre qui le recouvre.

Emmanuel m’a envoyé la box d’avril qui contenait deux jolies tablettes aux couleurs printanières.

Contenu de la box :

Chocolat noir 73%, équitable, pure origine du Vietnam – Baudelaire
Chocolat lait 45%, équitable, pure origine du Vietnam – Baudelaire

Chocolat noir 73%, équitable, pure origine du Vietnam – Baudelaire

Le titre de cette tablette est issu du poème très connu « Fleurs du mal » écrit par Baudelaire (1857). On y découvre l’illustration de Signac « Le Pont des Arts » (1928). Je trouve d’abord l’illustration très belle. Je suis partagée entre ouvrir vite le produit à déguster et l’idée de gâcher cette petite merveille de faux livre. Mon amour du chocolat étant plus fort, je l’ai évidemment ouvert pour gouter ce chocolat. De plus son origine asiatique pique ma curiosité. On y découvre un chocolat très intense, même pour du 73%. Cela n’a rien à voir avec les chocolats des grandes surfaces.

Chocolat lait 45%, équitable, pure origine du Vietnam – Baudelaire

Le titre de cette tablette est issu du poème très connu « Fleurs du mal » écrit par Baudelaire (1857). On y découvre l’illustration de Signac « Le Pont des Arts » (1928). Je comprends en regardant de plus près cette tablette que les illustrations des 2 tablettes se complètent et je trouve l’idée très ingénieuse et presque ludique, qui rappelle (si on va un peu loin) la chasse aux oeufs de Pâques en cette période d’avril.

Idem que pour le chocolat noir, ce chocolat au lait est fort en goût, même si cela reste un chocolat au lait. Sur la fin de la bouchée, on y retrouve beaucoup de douceur.

Comme je l’ai dit dans un précédent post, je compte conserver les emballages des tablettes et m’en inspirer pour créer un cadre, soit d’illustrations ou de poèmes. L’imagination est la seule limite et ça me permet de ne pas jeter.