La Box Le Chocolat de Poche est la toute première box « chocolittéraire ». Qu’est-ce donc ? Il s’agit tout simplement d’une box destinée aux amateurs de chocolat, présenté sous forme d’une tablette illustrée à la manière d’un livre de poche. Cette box est née de l’imagination d’Emmanuel Allasia, un chocolatier créateur et fabricant, qui souhaitait allier ses deux passions : la lecture et la dégustation de chocolat, tout en protégeant ses tablettes des mains avides de ses proches. L’idée lui est venue de les dissimuler dans sa bibliothèque, devenant ainsi créateur de tablettes de chocolat poétique ! Et nous partons aujourd’hui à la découverte de cette box gourmande. La présentation Pas de box spécifique (et donc de sur emballage) pour les tablettes, ce qui est appréciable pour la planète ! Elles arrivent bien protégées dans un courrier suivi par la Poste, pour éviter qu’un facteur un peu trop gourmand les croque au passage. Le petit format permet à la box de se glisser dans la boîte aux lettres sans souci. Les tablettesPour terminer l’année, la box de décembre est composée de deux tablettes : « Que ne donnerais-je pour un regard de vous ? » et « Je rêve aux baisers qui durent toujours… ». De bien belles déclarations, qui auraient pu faire d’excellents cadeaux destinés à l’élu-e de son cœur ! Les deux tablettes, comme le reste des chocolats du Chocolat de Poche sont transformés artisanalement dans un atelier aux portes du Beaujolais (à quelques kilomètres au nord de Lyon), uniquement à base d’ingrédients bio. Elles sont emballées dans un sachet en plastique fermé hermétiquement et se conserve environ 2 ans, à l’abri de la chaleur. La Tablette « Que ne donnerais-je pour un regard de vous ? » est inspirée de d’un poème de Victor Hugo, A une Femme (1829), issu du recueil Les feuilles d’automne (1831) ; le texte est court et absolument magnifique, une vraie déclaration d’amour ! L’illustration représente le Portrait de Sarah Bernhardt, par Georges Jules Victor Clairin (1876), actuellement conservé au Petit Palais, qui abrite le musée des Beaux-Arts de la ville de Paris.A l’intérieur, on découvre un chocolat noir 74% la bergamote bio. Je suis totalement séduite par ce côté acidulé et floral que procure la bergamote associée au chocolat noir. Elle le sublime vraiment ! La Tablette « Je rêve aux baisers qui durent toujours… » doit son nom à un poème de Sully Prudhomme : Ici-bas, issu du recueil Stances et poèmes (1865). Ce poème très nostalgique et harmonieux est également empli de tendresse. L’illustration associée représente la célèbre peinture Le baiser de Klimt (1908-1909), conservée au musée du Belvédère de Vienne en Autriche.A l’intérieur, on découvre un chocolat noir 74% au gingembre. Ce baiser entre le chocolat et le gingembre est une association fougueuse qui plaira aux amateurs d’épices !
